Broderies – 2007

Paris en broderies de buis.

Paris est une ville dont on a taillé l’architecture au fil du temps avec une précision, un raffinement et une patience dignes de l’art topiaire.
Broderies : ma ville, mon quartier, mon immeuble procède de l’appropriation d’une ville : « Chacun devrait dire ses routes, ses carrefours, ses bancs. Chacun devrait dresser le cadastre de ses campagnes perdues », Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace, Presses Universitaires de France, Paris, 1957.
Désormais, Paris « est mon jardin » – expression japonaise équivalente à « je connais Paris comme ma poche ».

Paris made of boxwood embroideries.
Paris is a city whose architecture has been hewn out down the ages with a precision, refinement and patience worthy of the art of topiary. Broderies : ma ville, mon quartier, mon immeuble [Emboideries: my city, my neighbourhood, my building] issues from the appropriation of a city: “Everyone should describe their roads, their crossroads, and their benches. Everyone should draw up the land register of their lost farms and countryside”, wrote Gaston Bachelard in La poétique de l’espace, Presses Universitaires de France, Paris, 1957.
Henceforth, Paris “is my garden” — a Japanese saying meaning: “I know Paris like the back of my hand.”

aquarelles sur papier  watercolors on paper

57,8 x 84 cm ([2x] 57,8 x 42 cm)
39 x 42 cm
19,8 x 17 cm
16 x 20,3 cm